L'île du mirage (quête) (suite)

Suite du post au large

Pirate > Terre en vue ! Terre en vue Capitaine !
Kévin > Nous y voilà ! L'archipel du Squale !
Julie > Pourquoi l'appelle-t-on ainsi ?
Kévin > Car on y observe une énorme concentration de requins !
Julie > Et moi qui voulaient prendre un bain !
Kévin > Ben rien ne t'en empêche..

Julie fît une grimace, rieuse. Kévin, toujours à la barre, esquisa un sourrire. Il regarda le compas, qui indiquait à présent une île. Le Black Pearl se dirigeait vers cette île, et perdit de la vitesse en arrivant, avant de s'immobiliser totalement. Kévin prit la main de Julie et l'entraîna à l'arrière du navire.

Kévin > Regarde !

On pouvait facilement apercevoir des tas de requins dans l'eau transparente.

Julie > J'en ai la chair de poule...
Kévin > Ils ne sont pas tous méchants. Par cntre, celui-là, c'est un requin-tigre. C'est un mangeur d'hommes !

Kévin avait réussi à posirionner le Black Pearl de manière à pouvoir repartir facilement, dès que le vent le permetrai.

Kévin > Bon ! Ecoutez-moi !

Le silence se fît...

Kévin > Nous ne pouvons pas déscendre dans les eaux comme d'habitude. Ceux qui descendrons devrons passer par la proue.

Mais, soudain, Kévin aperçut un homme de taille assez importante, de couleur noir. Il était sur la côte et sérrait contre lui une lance. Il interpella Kévin :

Homme > Vous êtes le capitaine ?
Kévin > Oui ! Qui êtes-vous ?
Homme > Je m'appelle Edwardo, et j'ai été abondonné par mon ancien équipage. J'attends alors ici depuis 3 jours après un navire. J'aimerai embarquer dans un nouveau navire
Kévin > Que sais-tu faire ?
Edwardo > Je sais chasser
Kévin > Alors bienvenue dans l'équipage du Black Pearl !

Kévin descendit en passant par la proue. Il atterrit sur le sable, à quelque centimètres de l'eau.
Il fût suivi par John et Julie.

Kévin > Alors, Edwardo. Que sait-tu de cette île ?
Edwardo > Je n'y suis que depuis peu et je sais qu'elle est habitée par des tribus indigènes. J'ai éssayé de me raprocher d'elles, mais ils ne parlent pas un mot de notre langue et veulent pour la plupart me tuer.
Kévin > Okay. A-tu entendu parler d'un quelquonque carte ?
Edwardo > Non
Kévin > Bon et bien nous avons qu'a chercher ! Julie, tu reste sur le bateau et tu surveille. John, edwardo et moi nous alllons chercher la carte !
Julie > Bien capitaine !

On lui envoya des cordages et elle pût ainsi remonter à bord sans prendre trop de risques.
Les trois hommes se mirent en marche. Edwardo précédait le groupe, en connaisseur des lieux. La première étapes serait de trouver une tribu quelquonque, pour en tirer des informations.

Kévin > John, vous êtes armé ?
John > J'ai un poignard et une petite hache, ainsi qu'un mousquet
Kévin > Celà devrai aller. Et vous Edwardo ?
Edwardo > J'ai une lance et un poignard
Kévin > Bien. Moi j'ai une rapière et un poignard égallement
Edwardo > Chut !

Le groupe se figea, et Edwardo s'abessa, faisant signe aux autres de l'himiter. Il dégaina son poignard, et brandit sa lance de l'autre main. Soudain, il lança sa lance, qui vint se planter dans quelque chose. Il bondit, poignard en main, et se retrouva face à un homme de grande taille, et dont le torse était transpérsé par la lance. Edwardo l'acheva.

Edwardo > Il n'était pas armé. C'était un espion !
Kévin > Alors il faut vite que nous arrivions dans une tribu !

Les trois hommes se remirent en route...

La jungle ne semblait pas très hostile. se frayer un chemin parmis les épais branchege était chose aisée.
Soudain, les trois hommes arrivèrent aux abords d'une tribu.

Kévin > Nous y voilà ! Le compas ne réagit plus ! Soit c'est là, soit ce sera un point important de notre recherche !
Edwardo > Qu'indique ce compas ?
Kévin > il indique ce que l'on cherche le plus
Edwardo > Voilà qui est astucieux !
Kévin > En Effet...

Les trois hommes se rapprochèrent de l'entré de la tribu.

Edwardo > Je propose que l'on mette le feu à une partie de la tribu, pour les faire fuir !
Kévin > Non ! si le feu n'est pas maitrisé, tout partira, et la carte aussi !
John > Regardez là-bas ! Des facochères !
Kévin > Si on les effrait et qu'ils entrent dans le village, ce sera la panique totale, et nous pourrions piller !
Edwardo >Celà me parré faisale...
Kévin > Mais il faut s'organiser encore plus ! Notre plan doit être infaillible !
John > Il n'y a qu'une dizaine de facochères !
Edawardo > On pourrait peut-être les offrir au chef...
Kévin > Mais voilà ! Edwardo, vous savez chasser, n'est-ce pas ?
Edwardo > Oui
Kévin > Il faut amener des vivres pour les offrir au chef ! John et moi irons les apporter, pendant que vous effrairez les facochères ! Puis, quand ils entreront, nous liquideront discrétement les hommes les plus braves, puis pillerons le reste !
John > Oui ! Sa peut marcher !
Edwardo > Ce plan me parré correct

Ils se mirent alos à la recherche de fruits et de proies potentiels. Ils trouvèrent des bannanes, des oranges et Edwardo ramena deux poulets et un poisson.

Kévin > Où avez-vous trouvé ce poisson ?
Edwardo > Il y a une rivière là-bas dérrière ! Je vais aller en prendre d'autres !

Environ 30 minutes plus tard, les denrés s'élevaient à une dizaine de bannanes, une quinzaines d'oranges, quatres poulets, six poissons et même une chèvre sauvage.

Kévin et John partirent, se servent de leurs vestes pour transporter les marchandises, et Kévin prit la chèvres sur ses épaules. Il avancèrent et arrivèrent devant les gardes.

Garde > Qué natoulibus ! Kugu kugu !
Kévin > Pour chef ! Chef !

Kévin faisait des gestes pour s'aider. Enfin, l'un des gardes les conduisit au chef, et les deux amis déposèrent les marchandisent.

Chef > Gouli goula ! Kaké si titikogan !
Kévin > Oui, si on veut !

Soudain, des cris se firent entendre. Le chef sortit, ainsi que les autres personnes dans la case. Dehors, les facochères frappaient dans tout, et il semblait y en avoir plus que le troupeau initial. Kévin tua le chef, et Joh s'occupa des deux hommes qui l'accompagnaient. ,Enssembles, ils tuèrent une grande parties des guerriers restants, et Edwardo les rejoints. Au bout d'un moment, les facochères commencèrent à partir. Il avait renversés plusieur cases, et les habitants avaient fuit. Les derniers guerriers ne purent rien faire, et John abbatit un fuyard d'une balle bien placée.

Kévin > Voilà ! Le village est à nous !
Edwardo > Ils reviendront !
Kévin > Alors nous devons faire vite. edwardo, montez la garde !
John > Tenez, Edwardo. Prenez mon mousquet, au cas où ils reviendraient...
Edwardo > Merci

Kévin et John partirent en quête d'éventuel butin. Le compas avait changé sa direction et pointé maintenant versune autre partie de l'île. Mais il fallait profiter de l'instant et piller le plus possible...

Kévin entra dans une hutte à moitié détruite, tandis que John pénétrais dans une case voisine. A l'intérieur de la hutte où était Kévin, les facochères semblaient avoir du renverser la plupart des installations. Kévin trouva cependant un collier orné de dents de requins. il le prit et continua sa fouille, sans trouver quelque chose de vraiment intéréssant. Il sortit de la case.

John > Ta trouvé quoi ?
Kévin > Un collier. Et toi ?
John > Regarde ça !

Il lui tendit une canne, sertit d'un joyau énorme.

Kévin > Sa appartenait au chef ?
John > Non, au chamman ! Mais il n'y à rien d'autre, tout est détruit
Kévin > Bon allez on continue !

Kévin pénétra dans une autre case. A l'intérieur, il trouva deux grand paniers, semblable à des tonneaux, fait de roseaux et ornés de poignés.

"Celà nous sera utile pour transporter notre butin", pensa-t-il

Il chercha et trouva de belles poteries. il les prit et continua de fouiller. Il trouva une bague d'or magnifique, un espadon et un petit sac de grain.
Il sortit.
Au bout d'un moment, le butin était assez élevé. La maison du chef s'était montré particulièrement enrichissante. En plus des objets déjà trouvés, il y avait aussi maintenant plusieurs poissons,des poulets, des peaux de bêtes, des vêtements, une sarbacane, une coiffe d'or, un autre anneau et une émeraude. Kévin pénétra dans une autre maison. A l'intérieur, il découvrit une femme attachée, ligotée. Il appela John.

Kévin > On la libère ?
John > Elle doit être une ennemie de la tribu. Elle nous aidera peut-être.
Kévin > Ouaips, ta raison. On la libère !

Kévin trancha les liens. La femme s'agenouilla, signe qu'elle ferai se qu'il lui dirai.
Ils découvrirent aussi un homme, qu'ils libèrent. puis ils repartirent au Blazck Pearl, les paniers pleins, et les bras portant les étoffes, les vêtements...

De retour sur la plage, Kévin cheargea John et Edwardo de remonter le butin. Il grimpa à bord, accompagné des deux nouveaux membres. Il les envoya dans la cabine. puis il se dirigea vers sa seconde, qui regardait l'horizon. Il lui passa le collier, sans un mot. Elle se retourna et contempla le magnifique bijou. Elle serra Kévin dans ses bras.

Julie > C'est magnifique !
Kévin > Se n'est qu'une partie de ce qu'on à rapporté.
Julie > J'ai hâte de vouir ça !

Kévin retourna dans la cabine. John éssayait déjà de parler avec les deux indigènes.

Kévin > Vas dans la soute avec l'un des deux et essaye de lui apprendre à parler
John > Bien

Kévin resta avec la femme. Il essaya alors de parler, avec des signes.

Kévin > Moi Kévin. Et toi ?
Femme > Kyrli
Kévin > Okay Kyrli...

Quelques heures plus tard, la nuit tombait. Kévin sortit de la cabine et rejoint John sur le pont.

John > Elle parle ?
Kévin > Un peu
John > Moi, il bredouille quelques trucs. Bah, ils apprendront !
Kévin > Sûrement !

Le lendemain, Kévin se préparait déjà à partir à la recherche d'autres tribus. Il avait hâte de trouver d'autres trésors et surtout la partie de carte.

Kévin > Mademoiselle Swann !
Julie > Oui capitaine ?
Kévin > Garde le bateau pendant mon abscence. N'hésite pas à te servir des canons en cas de danger !
Julie > Okay Capitaine !

Kévin se mît en route, acompagné de John, Edwardo et des deux indigènes, qui servirai de guides. Ils les conduisirent à un tribu, apparement ennemie.

Indigène > Mé-Méchants !
Kévin > Bien !

La tribu était légérement plus petite que celle de la veille.

Kévin > Une suggestion Edwardo ?
Edwardo > Non. Pas de facochères cette fois.
John > On a qu'a y foutre le feu !
Edwardo > Tu brûlerais la carte si elle y est !
Kévin > Regardez ces falaises ! On va y monter ! On verra une partie de l'île !
Indigène > Pas aller ! Tomber !
Edwardo > Ils ont peur des éboulements !
Kévin > Si ont y vois bien, ont aura un avantage !

Ils montèrent en quelques heures. De là-haut, ils voyaient pratiquement toute l'île, et en particulier 5 tribus.

Kévin > Si on avait un conon, on les pillonerait d'ici !
Edwardo > Tu crois qu'on pourrai en monter un ?

Monter un canon à une telle hauteur aurait prît trop de temps. Et le temps, il était clair que Kévin ne voulait pas en perdre. Soudain, alors que ses pensées se dirigeaient vers une solution efficace de trouver la carte, une fumée se fît remarquer. Elle vnait du Pearl...

John > C'est le signal d'alerte !
Kévin > John, passes-moi ta longue-vue !

Kévin regarda en direction du navire :

Des sauvages attaquaient le bateau. Il suffisait que l'un d'entre mît le feu au voiles, et s'en était fini.

Kévin > Vite ! Allons-y !
Indigène > Nuage rouge !
Kévin > Quoi ?
Indigène > Faire nuage rouge pour Mokaya
Edwardo > Il gaut faire une fumée rouge ! Sa doit être un genre de signal !
John > Comment faire ça ?

L'indigène avait commencé à prendre certaines pierre rouges, assez courantes et aussi quelques brindilles. Il appela Kévin. Celui-ci immita les gestes du sauvage, c'est à dire qu'il brisa les pierres entre elles. Puis l'indigène fîtun feu sur lequel il cassa encore des pierres rouges, qui n'étaient pas résistantes du tout. La fumée se teinta de rouge t monta dans le ciel...

John > Les sauvages partent !
Edwardo > Il vont venir ici !
John > Non, notre ndigène à nous a dit que c'était dangereux.
Kévin > John, et si c'était un signal qu'ils prennent pour divin ? Préparez vos armes !

Les coups de feu ne céssèrent pas. Apparement, Julie et les autres avaient décidé de ne pas laisser partir les sauvages comme celà !